préstation artistique à la journée culturelle des etudiants guinéens de Dakar |
« C’est ici où doit se tenir les manifestations de la journée d’intégration ? » S’interrogent trois étudiants marchant vers la cafétéria non loin de la Bibliothèque universitaire .Vu de l’extérieure la boite peint en blanc n’attire pas un passant. Mais c’est sans connaitre le décore qu’elle offre de l’intérieure. Un pas à la porte ; le décore vous renvoie en Guinée ; sur les quatre murs sont placardées les photos de quatre présidents de la guinée indépendante. D’un coté Ahmed Sékou Touré avec son fameux bonnet traditionnel suivi du feu Général fori coco (Lansana conté) avec une mine de tempérament habillé en grand boubou blanc qui rappel le mode vestimentaire de ses vieux ministres ensuite l’actuel homme fort de Guinée Koro le Pr Alpha Condé avec un sourire qui marque la proximité de l’homme à son peuple mais ; c’est sans compter que l’apparence est souvent trompeuse. De l’autre les deux présidents éphémères de la Guinée :le capitaine Dadis béret rouge vissé sur les yeux micro en main qui ramène les dadis show de la télé bidon guinéenne .en fin El tigre (Général sékouba Konaté) l’homme de la deuxième partie de l’infinie transition guinéenne avec un visage un peut serré signifiant droit au but.
Sur l’estrade de la salle garnie à la culture guinéenne : le lépi et la foret sacré sont assis cote à cote au tour d’une grande table sous le tricolore guinéen quatre personnages du troisième âge représentant chacun une région naturelle de la Guinée .L’autre partie de salle à moitié remplie renseigne le retard d’un grand nombres d’étudiants « ils sont dans les amphis pour les examens mais ;ils seront tous là d’un moment à l’autre »siffle Emile Yombouno Baba président de l’amicale des étudiants guinéens de l’Université Cheik Anta Diop . Dans la salle les uns sont emportés par la cadence musicale guinéenne de l’animateur du jour assis derrière son al tuerie de machine ; les autres débattent des sujets d’actualité.
A 16h 30mn la boite est remplie ; plus de temps à perdre stop à la musique place aux discours. Les quatre sages représentants des régions naturelles se succèdent au micro ; le discours est le même « soyez unis ; courage ma région vous soutient ».En beau discours le guinéen est nomber one. En suite Emile yombouno fort de son inspiration retrace dans un discours non écrit les maux dont souffrent les étudiants guinéens de Dakar (problème de logement ; manque de bourse ...).Et en fin Madame Anne représentante de l’ambassadeur guinéen à Dakar fait savoir que son ambassade est sensible à la vie précaire des étudiants. « L’ambassade est là pour vous ; elle partage vos peines »affirme la diplomate dans un bref discours. Ces discours ont été suivis par une conférence sur le thème « la jeunesse guinéenne face aux défis du changement » animée par Aboubacar Diallo diplômé de maitrise en droit de l’université Cheick Anta Diop .Ce jeune juriste de formation s’est bien reconverti en économiste pour accrocher le public sur les tars et paradoxes qui étranglent le processus de développement en Guinée « certains guinéens ont construit leurs maisons sur du diamant mais ;ils sont pauvres »s’indigne le conférencier avant de flinguer l’administration de son pays « l’administration guinéenne est vieillissante alors que la jeunesse occupe plus de 60% de la population ; comment peut on l’exclure du développement » s’interroge M .Dillo .Le conférencier à également dénoncer la faiblesse du système éducatif guinéen «une formation est inadéquate à l’emploi ; conséquence beaucoup de diplômés sont dans la rue ou dans l’informel par manque de recrutement » s’étonne le conférencier .
A 19h et demi alors que la nuit tombait sur la capitale sénégalaise tout le monde se regroupe pour une photo de famille afin d’immortaliser ce beau moment et pour dire à l’année prochaine.
Sur l’estrade de la salle garnie à la culture guinéenne : le lépi et la foret sacré sont assis cote à cote au tour d’une grande table sous le tricolore guinéen quatre personnages du troisième âge représentant chacun une région naturelle de la Guinée .L’autre partie de salle à moitié remplie renseigne le retard d’un grand nombres d’étudiants « ils sont dans les amphis pour les examens mais ;ils seront tous là d’un moment à l’autre »siffle Emile Yombouno Baba président de l’amicale des étudiants guinéens de l’Université Cheik Anta Diop . Dans la salle les uns sont emportés par la cadence musicale guinéenne de l’animateur du jour assis derrière son al tuerie de machine ; les autres débattent des sujets d’actualité.
A 16h 30mn la boite est remplie ; plus de temps à perdre stop à la musique place aux discours. Les quatre sages représentants des régions naturelles se succèdent au micro ; le discours est le même « soyez unis ; courage ma région vous soutient ».En beau discours le guinéen est nomber one. En suite Emile yombouno fort de son inspiration retrace dans un discours non écrit les maux dont souffrent les étudiants guinéens de Dakar (problème de logement ; manque de bourse ...).Et en fin Madame Anne représentante de l’ambassadeur guinéen à Dakar fait savoir que son ambassade est sensible à la vie précaire des étudiants. « L’ambassade est là pour vous ; elle partage vos peines »affirme la diplomate dans un bref discours. Ces discours ont été suivis par une conférence sur le thème « la jeunesse guinéenne face aux défis du changement » animée par Aboubacar Diallo diplômé de maitrise en droit de l’université Cheick Anta Diop .Ce jeune juriste de formation s’est bien reconverti en économiste pour accrocher le public sur les tars et paradoxes qui étranglent le processus de développement en Guinée « certains guinéens ont construit leurs maisons sur du diamant mais ;ils sont pauvres »s’indigne le conférencier avant de flinguer l’administration de son pays « l’administration guinéenne est vieillissante alors que la jeunesse occupe plus de 60% de la population ; comment peut on l’exclure du développement » s’interroge M .Dillo .Le conférencier à également dénoncer la faiblesse du système éducatif guinéen «une formation est inadéquate à l’emploi ; conséquence beaucoup de diplômés sont dans la rue ou dans l’informel par manque de recrutement » s’étonne le conférencier .
Banquet et divertissement
Dans cette fête le plat guinéen n’a pas été en reste les participants ont dégustés du ladjiri et kossan (coucousse au lait) et du maalé noun tobhokhi (riz à la sauce au poisson). L’autre moment fort de la journée est marqué par la prestation de l’artiste Antoine Tea et sa troupe qui ont égayé le public par des belles chansons et des pas de dense.A 19h et demi alors que la nuit tombait sur la capitale sénégalaise tout le monde se regroupe pour une photo de famille afin d’immortaliser ce beau moment et pour dire à l’année prochaine.
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